Les lapins sont des animaux sociables qui doivent dans la mesure du possible être détenus en groupe. S’ils ne peuvent pas être placés dans le même enclos, ils doivent au moins pouvoir sentir et entendre d’autres lapins dans la pièce. Un contact visuel est également recommandé. La cohabitation avec leurs congénères rompt la monotonie et s’avère stimulante pour les animaux. Les groupes de deux ou trois individus constituent une bonne combinaison, p. ex. un mâle castré avec une à deux femelles.

Il est préférable de former des groupes avec des animaux jeunes. Il peut être difficile d’en intégrer de nouveaux dans des groupes composés d’animaux de plus de quatre mois, en raison des violents conflits de hiérarchie.

L’entente des lapins avec leurs congénères varie fortement d’un animal à l’autre. C’est pourquoi il est important de contrôler régulièrement le fonctionnement du groupe. Les griffures et les morsures au sein d’un groupe sont inévitables – elles sont inhérentes à la vie d’un lapin.

Les lapereaux ne doivent pas être détenus seuls durant leurs 8 premières semaines de vie.

 

Voir aussi le site de Office fédéral de la sécurité alimentaire et des affaires vétérinaires OSAV:

https://www.blv.admin.ch/blv/fr/home/tiere/tierschutz/heim-und-wildtierhaltung/kaninchen.html#-1196863212

Ce que l'OSAV dit des Contacts sociaux 

 

 

C'est avec plaisir que nous vendons 2 lapins ensemble.

La cohabitation peut très bien se passer, mais il faut savoir qu'un jour

ou l'autre l'entente peut se dégrader. Cela peut aller jusqu'à nécessiter une 2ème cage.

Vous pouvez, bien entendu, vous sentir libre de n'en prendre qu'on seul chez nous et d'en acheter un autre ailleurs.

 

Le meilleur duo selon nous: c'est un mâle castré et une femelle ou deux mâles castrés tôt.

 

 

« A deux on n'est pas forcément mieux »

 

Un petit article qui fait réfléchir quand tous les magasins et même des professionnels nous rabâchent ce refrain:

 

"A deux on est mieux, et c'est la loi".

 

Ce qui n'est pas forcément vrai...

 

 

Article tiré du journal « courrier des bêtes » de la SVPA (société protectrice des animaux vaudoise) de décembre 2012